Sujet : correctif d’une inexactitude parue dans l’édition du 13 février 2020 du Télégramme de Brest
Voici le commentaire que nous avons déposé sur la page internet d’un article inexact publié par le Télégramme de Brest. C’est une copie du texte déposé et la confirmation de nos dires (l’image ci-dessous est une copie d’écran venant de notre fil de discussion sur facebook).
À la date de publication de ce billet, le commentaire n’a pas été publié.
Voici la mise au point que j’ai envoyée au Télégramme :
La vieille politique a cela de délicieux que l’on n’est jamais déçu sur sa capacité à trouver le moyen de ne pas aller à l’essentiel. Je me vois donc à nouveau contraint de répondre non pas sur un élément de programme mais sur un point de politique politicienne mis en avant par nos adversaires.
Monsieur Le Borgne m’accuse de « contre-vérité ». En bon français je sais ce qu’est la vérité, ce qu’est le mensonge. Je laisserai au vieux politicien qu’il est la responsabilité de donner sa définition de la contre-vérité. Toujours est-il que contrairement à ce qu’il affirme, la vérité est que nous avons eu un peu plus « de deux échanges sur quelques problèmes de la commune ».
Ces échanges ont en effet commencé en septembre 2019 et fini en janvier 2020. M. Le Borgne m’avait, lors d’un de ces échanges, fait part de son expérience politique et raconté combien il n’aimait pas écrire car cela laissait des traces. Hélas pour lui il ne semble pas bien maîtriser la technologie moderne, et je tiens à la disposition du Télégramme la liste des SMS échangés entre le 16 septembre 2019 et le 6 janvier 2020, dont la copie de sa carte de vœux datant de sa campagne précédente. Il m’avait en effet donné le conseil d’en faire une pour préparer la campagne actuelle, ce que j’ai fait et ce qui m’a valu beaucoup de retours très positifs.
Réponse sans équivoque du Télégramme qui confirme nos dires.
Rebondissement sur cette mousse politicienne initiée et entretenue par notre couple d’opposants : https://www.letelegramme.fr/elections-municipales/plougonvelin/municipales-a-plougonvelin-israel-bacor-et-jean-yves-le-borgne-repondent-a-philippe-ris-20-02-2020-12508250.php
Voici la mise au point que j’ai envoyée au Télégramme :
La vieille politique a cela de délicieux que l’on n’est jamais déçu sur sa capacité à trouver le moyen de ne pas aller à l’essentiel. Je me vois donc à nouveau contraint de répondre non pas sur un élément de programme mais sur un point de politique politicienne mis en avant par nos adversaires.
Monsieur Le Borgne m’accuse de « contre-vérité ». En bon français je sais ce qu’est la vérité, ce qu’est le mensonge. Je laisserai au vieux politicien qu’il est la responsabilité de donner sa définition de la contre-vérité. Toujours est-il que contrairement à ce qu’il affirme, la vérité est que nous avons eu un peu plus « de deux échanges sur quelques problèmes de la commune ».
Ces échanges ont en effet commencé en septembre 2019 et fini en janvier 2020. M. Le Borgne m’avait, lors d’un de ces échanges, fait part de son expérience politique et raconté combien il n’aimait pas écrire car cela laissait des traces. Hélas pour lui il ne semble pas bien maîtriser la technologie moderne, et je tiens à la disposition du Télégramme la liste des SMS échangés entre le 16 septembre 2019 et le 6 janvier 2020, dont la copie de sa carte de vœux datant de sa campagne précédente. Il m’avait en effet donné le conseil d’en faire une pour préparer la campagne actuelle, ce que j’ai fait et ce qui m’a valu beaucoup de retours très positifs.
Pour ce qui est de la réalité de sa démission, je m’en tiendrai aux vérifications faites par le Télégramme et publiées dans l’article du 14 février 2020 https://www.letelegramme.fr/elections-municipales/plougonvelin/union-bacor-le-borgne-philippe-ris-reagit-14-02-2020-12504047.php : « le délégué Les Républicains (LR) de la circonscription, Jean-Yves Le Bihan, confirme que le 8 avril 2019, Jean-Yves Le Borgne a pris sa cotisation qui est valable pour un an. Depuis, nous n’avons pas eu de radiation de sa part ».
Les faits vérifiables sont les éléments de la vérité. Les allégations politiciennes le poison des « contre-vérités ».
